l'homme de confiance de Paddon
Knoblauch, d’origine allemande, quitte Sydney le 15 septembre 1855, avec onze ou douze personnes participant à une expédition menée par Monsieur Pannetrat, en vue de fonder en Nouvelle Calédonie un établissement agricole et aussi de prospecter afin de découvrir des gisements aurifères.
Il débarque à Canala, à l’époque Napoléon-ville, et poursuit avec ses compagnons des travaux agricoles et un commerce d’échanges avec les indigènes.
En juillet 1856, il entre au service du Capitaine Paddon comme chef comptable et magasinier. Il devient son homme de confiance. C’est à ce titre qu’il est chargé de recruter à Sydney des colons pour exploiter la concession Paddon de Païta.
Il devient lui-même propriétaire des lots 20 et 21, sur la rive droite de la Karikouié.
A Nouméa, il exerce des activités diverses dans le commerce ou la construction. En 1879, il ouvre ses magasins rue de l’Alma. Il est nommé vice-consul d’Allemagne à Nouméa. Après avoir passé plus de cinquante ans en Nouvelle Calédonie, il repart pour Sydney où il devient agent d’assurance et syndic de faillite.
Knoblauch a écrit le récit de son séjour en Nouvelle Calédonie. Ce manuscrit a été publié dans le « Calédonien » en 1953 puis en 1988 dans le numéro 42 des publications de la Société d’Etudes Historiques de Nouvelle Calédonie : « Six textes anciens sur la Nouvelle Calédonie ».
Il débarque à Canala, à l’époque Napoléon-ville, et poursuit avec ses compagnons des travaux agricoles et un commerce d’échanges avec les indigènes.
En juillet 1856, il entre au service du Capitaine Paddon comme chef comptable et magasinier. Il devient son homme de confiance. C’est à ce titre qu’il est chargé de recruter à Sydney des colons pour exploiter la concession Paddon de Païta.
Il devient lui-même propriétaire des lots 20 et 21, sur la rive droite de la Karikouié.
A Nouméa, il exerce des activités diverses dans le commerce ou la construction. En 1879, il ouvre ses magasins rue de l’Alma. Il est nommé vice-consul d’Allemagne à Nouméa. Après avoir passé plus de cinquante ans en Nouvelle Calédonie, il repart pour Sydney où il devient agent d’assurance et syndic de faillite.
Knoblauch a écrit le récit de son séjour en Nouvelle Calédonie. Ce manuscrit a été publié dans le « Calédonien » en 1953 puis en 1988 dans le numéro 42 des publications de la Société d’Etudes Historiques de Nouvelle Calédonie : « Six textes anciens sur la Nouvelle Calédonie ».